Un ciel, deux pays : En cheminant avec la Science vers l'infini
Un cielo, dos países: Caminando por la Ciencia hasta el infinito
Miguel Hernández est un grand poète et dramaturge espagnol. Fils de bergers, il avait 21 ans quand il a voyagé à Madrid en 1931 pour faire connaître ses poésies qu'il commençait à publier. Il y a connu d'autres grandes figures de la littérature espagnole dont le grand poète chilien Pablo Neruda.
Quand la guerre civile a éclaté en Espagne entre les nationalistes à l'idéologie fasciste dirigés par Francisco Franco et les républicains, Miguel Hernández, convaincu que la république permettait la justice sociale, la liberté et l'égalité, s'est engagé du côté républicain. Quand Franco a déclaré la fin de la guerre en 1939, on a ordonné la destruction de sa dernière œuvre et seuls deux exemplaires ont été sauvés et ont permis la réédition du livre au retour de la démocratie en Espagne.
Miguel Hernández a essayé de fuir au Portugal mais le dictateur portugais l'a remis aux autorités espagnoles qui ne l'ont pas fusillé mais l'ont mis en prison à Madrid puis à Alicante où il est mort de tuberculose en 1942, à l'âge de 31 ans.
L'arrêt du métro de Madrid où se trouve l'IES de nos camarades à Vallecas porte le nom de Miguel Hernández. Un buste a été érigé en son honneur près de l'IES. Dans divers arrêts du métro de Madrid, on peut lire des vers extraits de ses poèmes comme en témoignent les photos dans cette page.
Miguel Hernández es un gran poeta y dramaturgo español. Hijo de pastores, tenía 21 años cuando viajó a Madrid en 1931 para dar a conocer sus poemas que empezaba a publicar. Conoció a otras grandes figuras de la literatura española, entre ellas el gran poeta chileno Pablo Neruda.
Cuando la guerra civil estalló en España entre los nacionalistas de ideología fascista dirigidos por Francisco Franco y los republicanos, Miguel Hernández convencido de que la república permitía la justicia social, la libertad y la igualdad, se comprometió con el lado republicano. Cuando Franco declaró la fin de la guerra en 1939, se ordenó la destrucción de su última obra y sólo se salvaron dos ejemplares y permitieron la reedición del libro al regreso de la democracia en España.
Miguel Hernández intentó huir a Portugal pero el dictador portugués le entregó a las autoridades españolas que no le fusilaron sino que le encarcelaron en Madrid y luego en Alicante donde murió de tuberculosis a la edad de 31 años.
La parada del metro de Madrid donde está el Instituto de nuestros compañeros en Vallecas lleva el nombre de Miguel Hernández. Un busto fue erigido en su honor cerca del Instituto. En varias partes de la estación de metro se pueden leer versos extractos de sus poemas como atestiguan las fotografías en esta página.
Miguel Hernández y Madrid.pdf