eTwinning-Qualitätssiegel / label de qualité eTwinning

  • Teilnahme an einem Webinar / participation à une conférence web :


    Informations fournies pour participer au label de qualité :

    1. Brève description du projet. D’octobre à juin, 56 élèves de 13-14 ans (5e et 4e bilingues / 8a) ont collaboré au projet « Créons et faisons vivre notre quartier franco-allemand dans les villages frontaliers de Scheibenhard et Scheibenhardt. Une simulation globale ». Les professeures ont choisi ces deux villages réels (proches de nos écoles, divisés après 1815), ont "placé" dans des logements un nombre limité d’élèves qui ont dû se mettre d’accord par logement sur des identités, un passé, des habitudes. Puis nous avons mis ces différents personnages en relation sur le TwinSpace et durant deux rencontres réelles dans chaque établissement à Lauterbourg et Bad Bergzabern pour créer virtuellement leur nouvelle école et organiser des projets communs. Un voyage en tiers-lieu a permis aux élèves de vivre ensemble réellement. Les professeures ont fixé le scénario (prétexte aux échanges écrits et oraux), apporté les documents et outils informatiques nécessaires, été animatrices, médiatrices, expertes linguistiques.
    2. Liens vers les résultats du projet : https://twinspace.etwinning.net/26019/home
    3. Autres documents. Toutes les pages du TwinSpace ont été rendues publiques sauf 3 pages (2 padlets et une frise chronologique pour des questions de droit à l’image).
    4. Innovation et créativité pédagogique. Ce premier projet avec son entrée culturelle visait à améliorer les compétences linguistiques, sociolinguistiques et pragmatiques, s’inscrivait dans le parcours citoyen et l’ouverture culturelle. Il a été réalisé avec des fiches de travail traditionnelles mais aussi grâce aux apports de la simulation globale et de la « méthode Tandem » de l’OFAJ (apprentissage linguistique mutuel et réciproque). Dans la première partie, les élèves ont pu établir un « diagnostic territorial partagé » : les Français ont utilisé des données froides comme des cartes et des données chaudes comme des interviews faites par les partenaires. Ensemble, ils ont défini les enjeux de la création de notre nouveau quartier.  La « démocratie participative » a été utilisée lors de la planification de projets communs. Il y a eu davantage collaboration entre élèves (travaux à deux, en groupes, entre Français et Allemands, 5e et 4e) qu’un rapport frontal professeur-élèves. L’intérêt pour le projet a été suscité par l’ancrage réel (lieux et partenaires réels), les identités fictives, la part de créativité et de liberté, l’utilisation nouvelle d’eTwinning, la curiosité de voir le projet avancer grâce aux apports de chacun sur le TwinSpace, entretenu par les 2 rencontres réelles et le voyage en tiers-lieu.
    5. Intégration au programme d'études. Un nouveau thème a été préparé avant chaque rencontre une semaine par mois, débattu et approfondi pendant : comprendre des documents pour découvrir le territoire (1), rédiger des biographies et récits de journées habituelles (2), échanger des informations puis créer notre nouvelle école (3), coopérer pour organiser nos actions communes (4), découvrir le patrimoine commun et l’expérience du vivre-ensemble (5). Le lien était assez naturel avec les programmes : en 4e, créer notre propre école permettait d’approfondir les thèmes culturels « école et société » de notre livre « Prinz und Bottelknabe». En 5e, rédiger des publicités pour des camps de vacances arrivait après l’organisation d’un voyage après le livre « Eine Tüte grüner Wind ». La notion de « rencontre avec d’autres cultures » est majeure dans ces deux livres, également dans la cinquième partie de notre projet. Nos inspecteurs d’allemand en Alsace préconisent d’intégrer autant que possible la découverte du patrimoine local dans nos cours depuis que l’option LCR n’existe plus pour les bilingues. Les objectifs et les évaluations présents dans le projet s’adossent au CECRL (B1 pour écrire/B2 comprendre), aux domaines 2 et 3 du socle commun. (TwinSpace : partie 5, page 6 pour les détails).
    6. Communication et échanges entre les écoles partenaires. Les élèves se sont présentés sur Padlet, ont réagi sur le TwinSpace. Chaque groupe a produit du matériel accessible à tous concernant le territoire : les résultats de la webquest, un jeu interactif (frise) de la part des Français tandis que les Allemands ont envoyé une interview, support à l’évaluation de la compréhension de l’oral. Nous avons gardé la partie plus difficile (les conclusions du diagnostic territorial) pour la rencontre avec le travail sur les images. Faire connaissance a été l’axe majeur de la deuxième partie du projet. Les professeurs ont présenté la simulation globale. Les élèves ont créé leur nouvelle identité et fixé d’autres détails de leur vie commune fictive en débattant de points d’une fiche. Tous ont écrit comme devoir à la maison une biographie et le récit d’une journée, échangé et corrigé mutuellement ces documents sur epad.recit.org ou par TwinMail. Avant la deuxième rencontre, les deux groupes ont rassemblé des informations sur les écoles pour les comparer. Différents thèmes ont été discutés et présentés pour créer notre nouvelle école pendant. Les projets liés à l’animation du quartier ont été discutés avec Tricider. Durant le voyage, les élèves ont communiqué le plus en tandem et comparant leurs ressentis.
    7. Coopération entre les écoles partenaires. Nous avons essayé de tenir compte des capacités et du temps des élèves et des enseignantes. Les Français disposaient de quatre heures hebdomadaires, les Allemands trois. Mes bilingues pouvaient aborder l’histoire-géographie locale dans la langue du partenaire, l’ensemble des partenaires allemands non. Les élèves ont collaboré à part égale dans la deuxième partie pour créer des identités car les tâches finales étaient faisables au niveau A2 comme B1. Pour la troisième partie concernant l’école, les élèves ont échangé du matériel (des jeux interactifs à destination des Allemands, le règlement intérieur et la liste des plats de la cantine à destination des Français), les professeurs les ont fait comparer par groupes binationaux une liste de points puis créer leur nouvelle école (réfléchir sur des thèmes par quatre puis des valeurs par deux en utilisant un nuage de mots). Durant la quatrième partie, les élèves ont proposé, argumenté et voté sur Tricider entre 4e et 5e essentiellement. Les élèves allemands disposant d’un mois de cours en moins que prévu au deuxième semestre en raison de voyages et autres projets scolaires, ils ont davantage commencé/poursuivi le travail à la maison ou ont créé collectivement l’invitation qui faisait suite à notre débat sur Tricider.
    8. Utilisation de la technologie. Je poursuivais trois objectifs en utilisant les outils numériques. Premièrement, le TwinSpace me permettait de fournir aux élèves souvent dans des Padlets des documents authentiques, utiles tant au niveau de la situation, des idées que de la forme.  Deuxièmement, ces outils  permettaient aux deux professeurs d’afficher et conserver toutes les productions finales (« umap » m’a permis de cartographier les déplacements transfrontaliers des élèves et d’ajouter leurs textes, « thinglink » d’afficher leur plan du quartier avec leurs fiches d’identités et avatars créés sur « avatarmaker », « youtube » des vidéos avant des rencontres (interview faite par les Allemands, théâtre de marionnettes par les Français pour préparer une visite guidée) ou après des rencontres. Troisièmement, j’ai intégré dans le TwinSpace des outils pour permettre aux élèves de communiquer (epad.recit.org et Tricider). Quelques élèves de 5e ont aidé à préparer les jeux interactifs (LearningApps, Kahoot). Les partenaires y ont joué lors des rencontres. Les 5e ont pu prendre le relais de travaux des 4e sur les pages ouvertes avec le compte professeur ou en utilisant « Trumblr » (des post-it en ligne). Rares ont été les tutoriels grâce aux manipulations visibles au vidéoprojecteur. Quelques consignes figuraient sur le TwinSpace.
    9. Résultats, impacts et documentation. Grâce à ce projet, mes élèves ont gagné en esprit d’initiative, réflexion, discernement car nous leur avons donné l’occasion d’organiser des actions, sont attentifs à la portée de leurs paroles, à la responsabilité de leurs actes car ils avaient des partenaires réels. Ils ne se contentent plus du premier jet et pratiquent plus systématiquement l’autocorrection car ils savaient dès le début que leurs productions allaient être publiées sur un TwinSpace public. Ce qui ressort de l’évaluation finale du projet par les élèves est leur capacité à collaborer à 92 %, à argumenter pour défendre leurs opinions à 88 %. De mon côté, les relations élèves-professeur sont moins frontales et j’applique la pédagogie de projet avec d’autres classes à plus petite échelle. Les élèves ont pris conscience de leur ouverture culturelle en indiquant leurs représentations avant les rencontres, en corrigeant leurs stéréotypes, enrichissant leur connaissance de quelques faits culturels grâce à l’exemple de leurs partenaires. Un partenariat officiel a été mis en place entre nos deux établissements. Le principal souhaite étendre l’utilisation d’eTwinning. Grâce à la transparence de ce projet sur le site Internet du collège, je me réjouis que davantage de collègues me sollicitent pour participer à des projets.

          Bewerbung:

    1. Kurzbeschreibung des Projekts

    Im Zeitraum Oktober 2016 bis Juni 2017 hat die Klasse 8a (14 Jahre) des Gymnasiums in Bad Bergzabern mit den Klassen 7 (13 Jahre) und 8 (14 Jahre) des Collège in Lauterbourg das Projekt mit dem Thema „Ein deutsch-französisches Wohnviertel in Scheibenhardt und Scheibenhard – Entstehung und Zusammenleben! Ein Rollenspiel.“ durchgeführt. Im Rahmen des Projektes gab es insgesamt zwei Arbeitstreffen im Januar und April und eine Drittortbegegnung im Juni, die die Schüler zum Ideenaustausch und zur gemeinsamen Weiterentwicklung des Projektes genutzt haben. Außerhalb diente der Twinspace zur Vorbereitung der Treffen, zur Publikation von Schülerarbeiten sowie der Weiterführung der entwickelten Ideen. Dank der Durchführung eines Rollenspiels (s. Anhang) haben wir verschiedene Situationen geschaffen, in denen die Schüler in schriftlicher und mündlicher Weise in Interaktion getreten sind. Meine Aufgabe bestand vor allem darin, den Schülern verschiedene Materialien und Anlässe des Austausches zur Verfügung zu stellen, zu moderieren und technisch aufzuarbeiten.

    1. Links zu Projektergebnissen & Gastzugang

    Jury2017.rp

    1. Zusätzliche Dokumente

    Definition Rollenspiel

    1. Pädagogische Innovation

    Das Besondere an unserem ersten Projekt ist die Erschaffung eines fiktiven Wohnviertels an einem existierenden Ort – die Verbindung zwischen Fiktion und Realität. Da es sich um ein Projekt im grenznahen Raum handelt garantiert etwinning den kontinuierlichen Austausch und die stetige Weiterentwicklung in Ergänzung zu den stattgefundenen Treffen. Eines der wichtigsten pädagogischen Ziele ist die Sensibilisierung für den direkten Nachbarn und die Lebensweise des anderen. Des Weiteren ging es darum, möglichst häufig die Partnersprache anzuwenden, sowohl bei der schriftlichen Kommunikation und Präsentation als auch beim direkten Austausch mit den Partnern. Die Vielfalt der angewandten Lehr-/Lernmethoden hat die Schüler immer wieder motiviert und ihre Neugierde geweckt. Ebenso wechselten die Sozialformen und Medien sowohl im Klassenverband als auch bei der gemeinsamen Arbeit mit den französischen Schülern immer wieder während des gesamten Projektes. Es wurden z.B. folgende Methoden eingesetzt: ein Interview führen (Schrift- und Tondokument), das Rollenspiel als zentrales Element des Projektes und als eine völlig neue Erfahrung für die Schüler im Hinblick auf die Art der Unterrichtsgestaltung (s. Anhang), die Debatte, das kreative Schreiben, das szenische Spiel mit Standbild, das Gruppenpuzzle und die Pinnwandmoderation, Präsentieren, Meinungsbild. Durch das Rollenspiel und die damit gestellten Aufgaben ist es vielen Schülern gelungen, einen neuen kreativen Zugang zur französischen Sprache zu finden. Sie hatten die Möglichkeit, sich in Einzel-, Partner- oder Gruppenarbeit im Klassenverband oder mit der Partnerklasse zu den verschiedenen Themen zu beraten und auszutauschen. Da das Projekt in mehrere Phasen unterteilt ist, gab es immer wieder neue spannende Aufgaben zur Vor- und Nachbereitung der Treffen, und vor allem die Drittortbegegnung beider Klassen als Abschluss des Projektes ist ein hoher Motivationsfaktor.

    1. Integration in den Lehrplan

    In der 8. Klasse werden drei Stunden Französisch in der Woche unterrichtet. Für die Projektarbeit stand durchschnittlich eine Stunde pro Woche zur Verfügung, da das Projekt zusätzlich zur „normalen“ Lehrbucharbeit stattgefunden hat. Das Thema „Das Schulsystem in Frankreich und Deutschland“ wurde mit dem Lehrbuch ausführlich behandelt, so dass die Schüler gut vorbereitet in die Diskussion mit ihren französischen Partnern gehen konnten. Im direkten Austausch konnten so Vor- und Nachteile der beiden Schulsysteme verglichen werden, was an dieser Stelle weit über die Lehrbucharbeit hinausgeht und somit den Horizont der Schüler erweitert.

    An unserer Schule findet für die Schüler der 8. Klasse mit Französisch als erster Fremdsprache im Hinblick auf die mündlichen Prüfungen in den Fremdsprachen Französisch und Englisch, die durch die neuen Bildungsstandards für das Abitur verpflichtend sein werden, eine mündliche Prüfung als Ersatz für eine schriftliche Klassenarbeit statt. Wir haben das Rollenspiel als Thema für diese Prüfungen genutzt, d.h. jeder Schüler hat seine neue Identität in einem Monolog vorgestellt und anschließend in seiner Rolle mit seinem Partner einen Dialog zu einer vorgegebenen Situation vorgespielt.

    Im Fokus der Projektarbeit stand die sprachliche und interkulturelle Handlungsfähigkeit als übergeordnetes Ziel. Beide Kompetenzen greifen durch das Projekt ineinander, da die Schüler angeregt werden, durch die verschiedenen oben beschriebenen Methoden in der Fremdsprache zu kommunizieren und sie durch etwinning und die stattgefundenen Treffen eine sofortige Rückmeldung bekommen haben. Der Erwerb der interkulturellen Kompetenz fand vor allem während der Drittortbegegnung statt, wo die Schüler sich auf eine neue Situation einlassen mussten. Auf sprachlicher Ebene wurden besonders das Leseverstehen, Schreiben und Sprechen gefördert, da die Schüler in diesen Bereichen mehrere Aufgaben bearbeitet haben. Durch die intensive Arbeit am Computer wurde ebenso die Medienkompetenz geschult.

    1. Kommunikation und Austausch zwischen den Partnerschulen

    Zu Beginn des Projektes haben zunächst alle Schüler einen kurzen Steckbrief in der Zielsprache verfasst und auf einer Pinnwand im Twinspache veröffentlich. So konnten sich die Teilnehmer ein Bild voneinander machen und die Neugierde auf die Partner wurde geweckt. Weiterhin hat jede Gruppe Materialien erstellt, die für alle zugänglich sind und unterschiedliche Formate haben. Die deutschen Schüler haben zwei Interviews geführt, wobei das Tondokument als Hörverstehensübung für die französischen Schüler genutzt wurde. Gleichermaßen gab es verschiedene interaktive Angebote, die für die deutschen Schüler bereitgestellt wurden.

    Der zweite Teil des Projektes stand ganz im Zeichen des Kennenlernens. Bei einem ersten Treffen in Lauterbourg wurde in zufällig zusammengestellten Gruppen über verschiedene Bilder aus den Orten Scheibenhard und Scheibenhardt diskutiert und deren Herkunft beschrieben und präsentiert. Ein wichtiger Moment war im Anschluss daran die Präsentation des Rollenspiels (s. Anhang) durch die Lehrkräfte. In einer durch ein Arbeitsblatt gesteuerten Debatte haben die Schüler ihre neuen Identitäten geschaffen und weitere Details ihres fiktiven Zusammenlebens festgelegt. In einer Hausaufgabe haben alle Schüler eine Biographie und einen typischen Tagesablauf in der Zielsprache geschrieben (s. Anhang) und diese Dokumente in Chatrooms und per E-Mail ausgetauscht und gegenseitig korrigiert.

    Für das zweite Treffen haben beide Gruppen Informationen zu ihren Schulsystemen gesammelt, um sie dann gemeinsam zu vergleichen. Es wurden verschiedene Themen besprochen und die Ergebnisse von den Schülern präsentiert. Weitere Aufgaben rund um das Leben in unserem deutsch-französischen Viertel wurden als Abstimmungen und Meinungsaustausch im Twinspace den Schülern zur Verfügung gestellt.

    Die Drittortbegegnung stellte das wichtigste Element der Kommunikation dar. Die Schüler hatten an zwei Tagen die Möglichkeit, sich auszutauschen und gemeinsame Aktivitäten wahrzunehmen.

    1. Zusammenarbeit zwischen den Projektpartnern

    Das gemeinsame Projektziel – die Kommunikation zwischen Jugendlichen in Grenznähe zu fördern – wurde sowohl von den Schülern als auch von den Lehrerinnen auf verschiedenen Ebenen erarbeitet. Die geographische Nähe der beiden Partnerschulen ist als großer Vorteil bei der Planung und Organisation des Projektes zu sehen. Seit Januar 2016 stehe ich mit meiner Kollegin in regem Kontakt, per E-Mail aber vor allem auch persönlich. Wir haben uns unzählige Male getroffen, gemeinsam Materialen erstellt, Ideen ausgetauscht und abgestimmt, bis hin zum Team-Teaching während der Projektphase. So ist es uns gelungen, für die Schüler kontinuierlich interessante Arbeitsaufträge zu schaffen, da durch unsere rege Kommunikation das Projekt stetig gewachsen ist. Im Laufe der Zeit sind viele Ideen hinzugekommen, die wir gemeinsam umgesetzt haben, immer unter der Berücksichtigung der Möglichkeiten der Schüler und der Lehrkraft. Die deutsche Klasse umfasst 29 Schüler und hat mit drei Wochenstunden Französisch nicht die gleichen zeitlichen Ressourcen wie die beiden französischen Klassen. Daher haben alle Schüler von den gemeinsamen Treffen profitiert, bei denen vor allem die Gruppen- und Partnerarbeit in binationaler Konstellation im Vordergrund stand. Die dort erarbeiteten Ergebnisse sind von den Lehrkräften teilweise technisch bearbeitet, in der Regel aber im Originalzustand im TwinSpace veröffentlicht worden. Die französischen Schüler haben ihren deutschen Partnern verschiedene interaktive Spiele und Meinungsumfragen zur Verfügung gestellt. Die beiden Lehrkräfte haben den Schülern Arbeitsaufträge und Hilfsmittel bereitgestellt und in die Benutzung verschiedener digitaler Medien eingeführt, so dass sie die verschiedenen im TwinSpace sichtbaren Beiträge erstellen konnten. Einige sind von den Lehrkräften korrigiert worden, andere in ihrer Originalfassung geblieben, wobei ihre Hauptaufgabe sicherlich darin besteht, alle Schülerarbeiten in einem geeigneten Rahmen darzustellen.

    1. Einsatz digitaler Medien

    Zur Unterstützung der Projektarbeit und der Interaktion und Kommunikation der Partnergruppen wurden zu Beginn vor allem Online-Tools wie padlet, epad und twinmail eingesetzt. Sie dienten zur ersten Präsentation der Partner und anschließend zum Ideenaustausch während des Rollenspiels. Die Heranführung an den TwinSpace und die Einführung dieser Tools erfolgte im Unterricht im Computerraum. Da ich zuvor für alle Schüler ein Konto mit Password eingerichtet hatte, konnte ich ihnen anhand eines Beispiels die Nutzung des TwinSpaces erläutern. Ebenso war die Vorgehensweise für die Verwendung anderer Tools, so dass die Schüler zu Hause alleine weitere Aufgaben erledigen konnten. Des Weiteren haben die Schüler mit einem Mikrofon ein Interview aufgezeichnet, das als Tondokument im Twinspace zur Verfügung steht. Mit verschiedenen Fotos und selbstgemalten Bildern wurde ein Plakat gestaltet, auf dem das fiktive Wohnviertel in Scheibenhard(t) zu sehen ist. Es hängt in beiden Klassenräumen der Partnerschulen und unterstützt so permanent visuell die Projektarbeit. Ein weiteres spannendes Tool war für die Schüler tricider, da auf einfache Art und Weise jeder seine Meinung zu einem Thema eintragen und anschließend abstimmen konnte. Da es während des Projektes drei Begegnungen gab, sind eine Fülle von Fotos und Videosequenzen entstanden, die die Schüler in Interaktion und Kommunikation miteinander zeigen. Sie dienen ebenfalls zur Sicherung verschiedener Ergebnisse, wie z.B. Fotos von Arbeitsblättern und Standbildern, Filme von Gruppenarbeiten und Präsentationen.

    Zur Kommunikation und zur Realisierung der Zusammenarbeit wurde vor allem der gemeinsame TwinSpace genutzt, die Besonderheit dieses Projektes sind aber auch die drei Treffen, bei denen die Partner die Möglichkeit zum realen Ideenaustausch hatten.

    1. Ergebnisse, Wirkung und Dokumentation

    Die Ergebnisse, die wir mit dem Projekt erzielen konnten, sind sehr vielschichtig. Zum einen konnten alle Schüler ihre interkulturelle Kompetenz erweitern und neue Kontakte knüpfen, zum anderen haben sie verschiedene Online-Tools kennengelernt und angewandt. Dank des Rollenspiels konnten sie sich gut auf die mündliche Klassenarbeit vorbereiten und ihre Kreativität nutzen. Dies stellt eine große Bereicherung für den Unterricht dar. Die Schüler haben eine Evaluation in Form eines Fragebogens durchgeführt, deren Ergebnisse im TwinSpace sichtbar sind. Die beiden Lehrkräfte haben ihrerseits das Projekt mit seinen Ergebnissen und seiner Wirkung reflektiert und auf einem Padlet veröffentlicht. Für meine Projektarbeit mit den deutschen Schülern war vor allem der Zeitfaktor ein großes Problem. Da das Projekt im Laufe der Zeit immer umfangreicher geworden ist, war es schwierig, die verschiedenen Themen und Aufgaben in den regulären Lehrwerksunterricht zu integrieren. Noch dazu kamen einige kleinere Stolpersteine wir Unterrichtsausfall oder belegte Computerräume.

    Das Projekt und hiermit die intensive Zusammenarbeit der beiden Lehrkräfte hat dazu geführt, dass die beiden Schulen nun auch offiziell Partnerschulen geworden sind. Das Treffen der beiden Schulleitungen im Dezember 2016 gehört sicherlich zu den Schlüsselerlebnissen dieses Projektes. Ein weiterer Höhepunkt für alle Teilnehmer war die Drittortbegegnung in den Vogesen, wo sich gezeigt hat, wie binationale Kommunikation funktioniert und wie alle Schüler kulturell und sprachlich ihre Kompetenzen erweitert haben.

    Im TwinSpace sind alle Beiträge chronologisch geordnet. Den Anfang machen die Beiträge, die die Schüler rund um Scheibenhard(t) erstellt haben. Das Kernstück bildet das Rollenspiel mit der Erschaffung des deutsch-französischen Wohnviertels, mit der Debatte über eine neue Schule und mit dem Leben im Viertel. Den Abschluss bildet die Drittortbegegnung mit den kulturellen und sprachlichen Aktivitäten.

    eTwinning-Qualitätssiegel / label de qualité eTwinning :

    europäisches Qualitätssiegel / label de qualité européen :