Testimonials

  • Natalia: 

    "During last semester, I was deeply involved in the international ERASMUS+ Get Involved program. In September, I visited Sartrouville, France as an exchange student and participated in multiple workshops on f.e. global engagement and environmental management. 
    In December, we had the pleasure to host delegations from France, Italy, Turkey, and Bulgaria during ERASMUS+ Get Involved Solidarity Week in Gdynia, Poland. I had the opportunity to coordinate this project, being responsible for hosting seven students in my dormitory, communicating with the Polish host group, scheduling activities, and translating introductory speeches to English a vista. The activities included workshops on different types of involvement, creativity workshops like forum theatre and creating ceramic and needlework pieces for charity, and cultural experiences like visits to the Gdańsk Solidarity Centre and Malbork Castle. However, due to being COVID-19-positive, I had to leave the exchange early so I was not able to participate in most of planned ideas. 

     

    Ola: 

    "Ca fait bien longtemps que je n’ai rien écrit. Or, il s’est passée tellement des choses magnifiques pendant l’Erasmus en Pologne! J’en suis encore interloquée et émerveillée, donc il faut que je mette un peu d’ordre dans mes idées. Bref, il serait mieux de récapituler les faits d’abord pour y voir plus clair. Apres être revenue de l’Erasmus en France, j’avait tellement hate de revivre le sentiment de la convivialité mondiale que je ressentais la-bas. Le temps est venu en décembre quand les élèves de la meme école française, aussi que des étudiants italiens, bulgares, et turques sont arrives a Gdynia a notre école. Cette fois, j’étais la personne d’accueillir un français chez moi. Pendant une semaine, je lui ai montre les habitudes polonais, ce qu’on mange en Pologne et notamment la langue polonaise, qu’il a commence a apprendre pendant son séjour (et qu’il continue encore). Or, il n’était pas seul a découvrir des differences culturelles. Puisque je lui voyait réagir a la réalité polonaise je me suis rendu compte des elements unique pour mon pays, que je n’avais pas remarque en France. Pour commencer, la difference principale était bien sur la nourriture. Toute la semaine je faisais de mon mieux de monter a mon ami la diversité des plats qu’on mange en Pologne, a titre d’exemple les “pierogis”, les “pączki” ou les “kotlety mielone” de mon grand-père. Bien que ces plats étaient tous nouveaux pour lui, il les a bien aimé. La plus grande surprise pour moi était que les françaises ne boivent pas tellement du the que nous les polonais. Néanmoins, il s’est habituée et m’a envoyé un photo du thé qu’il a prepare après être revenu en France. En ce qui concerne les activités, le programme d’Erasmus a abordé tous mes endroits préférées a Triville. En premier lieu, on a visitée le Centre Européenne de la Solidarité a Gdansk - une bâtiment qui represent l’histoire des mouvements sociales des années 80s en Pologne. J’étais tellement ravie et joyeuse de pouvoir amener mes amis de l’étranger a la exposition des événement crucial pour toute l’Europe. En plus, j’avais l’opportunité de pratiquer mon français en écoutant le guide du musée en français. Surtout, j’étais extrêmement touchée quand j’ai vu les autres discuter sur et apprécier une endroit d’une telle importance pour moi. Finalement, au delà de ce promener a Gdynia, on a fait du patin a glace plusieurs fois. Vu que c’est une de mes activités d’hiver préférées, je devais la passer aux les français. Il s’ensuit qu’ils l’ont adore tant que moi. En conclusion, l’Erasmus en Pologne m’a beaucoup appris sur les relations avec des autres at sur la langue et la culture française. Je me suis rendu compte de l’importance de l’échange internationale sur les différents habitudes et traditions culturelles. (H)Olalala! Ça ouvre les yeux! D’autre cote, puisque j’ai parlé français tous les sept jours presque tout le temps, j’ai beaucoup amélioré mon niveau du langue parlé. Quelle semaine perturbante n’est-ce pas?"

     

    Mikołaj:

    "Au décembre de 2021 il y avait une échange avec des élèves de France. Il sont venues pour vivre avec nous en Pologne pour une semaine. Ils vivaient chez mes copains et copines. Moi, j'ai aidé avec des activités pendant la journée. Le premier jours qu'ils étaient ici nous avons joué un jeu des pistes. Moi j'étais un de "guides" qui aidaient les français pour qu'ils se perdent pas. Aussi, quelques fois pendant les semaine nous sommes allés patiner parceque c'est populaire ici. En tout, j'ai améliorer mon français en parlant avec les français. J'avais aussi de responsabilités et je devais être collaboratifs."

     

    Ula : 

    "C’est certain que ce projet m'a donné une nouvelle perspective sur ce que signifie être issu d'un milieu privilégié. Pour expliquer, moi et mes amis de Pologne nous allons dans une très bonne école dans une grande ville tandis que une partie des participants des autres pays viennent de petites villes. En effet, nous avons différentes réflexions sur les activités d’Erasmus. Nous avons évalué chaque chose en pensant à l'impact qu'elle aurait sur les autres et sur l'environnement. Si nous avons parlé avec les autres, ils jugeaient si c'était ennuyeux ou pas. De peur d'être mal compris, je ne pense pas que leur façon de penser soit inappropriée. C’est simplement différent du mien. Cela m'a ouvert les yeux sur le fait que tous les jeunes, contrairement à moi et à mes amis, n'analysent pas tout sur des bases éthiques. Bref, grâce à ce Erasmus, je suis sortie de ma bulle ce qui fait que j'ai maintenant plus de compréhension des autres.

     

    Lorsque nous avons réfléchi au sujet du film que nous allions réaliser, mon ami et moi avons parlé de divers problèmes mondiaux qui sont (malheureusement) évidents pour nous parce que nous en parlons beaucoup à l'école. Toutefois, quand la Bulgare a réalisé qu'une femme pouvait aussi être ingénieur, ce qui est évident pour nous, elle était  heureuse et excitée. Ainsi, notre perspective était bénéfique pour les autres."